Le département de marchandisage au service des marchands

PUBLIREPORTAGE - « On accepte toujours l’aide qu’on nous offre ! », affirme le marchand Provigo Marc Bougie, dont le magasin est situé à Montréal. Il a l’intention de faire appel aux services offerts par Aliments du Québec, qui vient de créer un département de marchandisage. Un agent de promotion peut se déplacer dans toute la province pour s’assurer en magasin du rayonnement et de la visibilité des produits vérifiés de ses adhérents auprès des consommateurs.

Les sauces St-Hubert, les yogourts Liberté, les pains Gadoua : environ 20 % des 18 000 produits que Marc Bougie propose à ses clients sont vérifiés par Aliments du Québec. « C’est parfois difficile au niveau de l’approvisionnement car les consommateurs sont de plus en plus informés. Si un article de presse présente un produit, ils vont chercher à se le procurer, mais il n’est pas toujours disponible partout. Par contre, si le consommateur le demande, c’est intéressant pour nous d’essayer de l’avoir ; si un client prend le temps de faire la démarche, il y en a peut-être dix autres qui sont intéressés par le même produit. »

Son intention est de continuer à accroître son offre. L’organisme sans but lucratif qui promeut l’industrie bioalimentaire à travers les marques Aliments du Québec, Aliments préparés au Québec et leurs déclinaisons respectives dispose de 25 000 produits qui couvrent l’ensemble des catégories de l’épicerie. Le plus grand défi est donc de faire des choix pour que l’offre soit contenue dans l’espace défini.

Maximiser l’identification et la visibilité

En ce qui concerne le travail d’identification des produits vérifiés, le marchand se réjouit d’avoir déjà plusieurs outils de promotion mis à sa disposition par Aliments du Québec : « Les logos sur les produits aident, sans nous demander de la main-d’œuvre supplémentaire. On se sert aussi de commères de tablettes et de présentoirs pour rassembler les produits. Le département de marchandisage devrait en plus nous aider cette année ! »

L’une des tâches confiées aux agents de promotion est de maximiser l’identification et la visibilité des produits vérifiés des adhérents ainsi que d’agir en tant qu’ambassadeur des marques. Il s’agit aussi de sensibiliser et d’éduquer les personnes clés en lieux de vente, comme les commis et gérants, à l’importance de respecter les meilleures pratiques en matière d’affichages. « Je n’ai peut-être pas en magasin cette expertise que les agents de promotion vont peut-être pouvoir combler », indique Marc Bougie.

Il a également développé différentes stratégies pour accroître la visibilité des produits vérifiés des adhérents. En partenariat avec un fournisseur, il participe par exemple au concours annuel Les Aliments du Québec dans mon panier !, qui incite à rivaliser d’originalité dans la mise en marché d’un produit. Il crée aussi des « événements Aliments du Québec » en regroupant des produits sur un bout de gondole ou d’îlot. Les nouveautés disponibles en magasin se démarquent ainsi et les clients peuvent ensuite les repérer plus facilement dans les rayons.

Les initiatives viennent tant du marchand que de la bannière et donnent toujours lieu aux commentaires des consommateurs. « Le meilleur retour que l’on peut avoir, c’est quand on vend le produit ! résume Marc Bougie. C’est d’ailleurs ce qui détermine si c’est une réussite ou non. » Là aussi, le département de marchandisage Aliments du Québec pourra intervenir en proposant et en déployant des projets promotionnels personnalisés au magasin afin de promouvoir les produits et offrir la possibilité d’augmenter leurs ventes.

Des partages pour s’améliorer

La présence d’Aliments du Québec sur le terrain vise aussi à tisser des liens de confiance étroits avec les personnes clés des lieux de ventes. Marc Bougie évoque un partage avec l’organisme, durant lequel il présente ses idées et en reçoit de nouvelles : « L’avantage est qu’il voit plusieurs magasins, donc il peut certainement nous amener des idées pour améliorer nos façons de faire en magasin et des conseils pour être meilleur. Je vois donc ça de manière très positive. »

Si le marchand n’a pas encore appelé les agents, il cible deux périodes annuelles propices : le printemps, avec les nouveautés saisonnières qui suivent les tendances de consommation, et l’automne, avec l’abondance des produits frais. « J’ai bien confiance dans le concept ! »

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